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La journée de solidarité

La journée de solidarité permet de financer des actions en faveur de l’autonomie des personnes âgées ou handicapées.

Mais alors quelles sont les modalités pour le salarié ?

Elles sont différentes suivant si le salarié fait partie du secteur privé ou du secteur public.

  • Dans le secteur privé, elles sont fixées par convention ou accord d’entreprise (ou d’établissement) ou par accord de branche.

Cette journée prend la forme d’une journée de travail supplémentaire non rémunérée sur l’année.

Le salarié peut donc travailler :

-soit pendant un jour férié qui était précédemment chômé autre que le 1er mai (comme le lundi de Pentecôte) 

-soit lors d’une journée de RTT 

-soit selon toute autre modalité permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées (comme travailler un samedi, par exemple).

  • Dans le secteur public, la journée de solidarité prend la forme d’une journée supplémentaire de travail non rémunérée. Le salarié peut donc travailler :

-une journée de travail le lundi de Pentecôte ou un autre jour férié précédemment chômé (autre que le 1er mai) 

-la suppression d’une journée de RTT 

toute autre modalité permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées, (sauf suppression d’un jour de congé annuel).

Si vous souhaitez en savoir plus sur ce dispositif, vous pouvez contacter notre filiale CAPEC RH spécialisée dans dans les domaines de la paie, des ressources humaines et du droit social.

Source: www.gouvernement.fr